Du 05 août au 21 août 2016 les Jeux Olympiques d'été se déroulent à Rio de Janeiro qui accueille l'évènement pour la première fois de son histoire. Les JO auront lieu dans trente-trois lieux, situés à quatre endroits différents de la ville : Copacabana, Maracana, Barra et Deodoro. Au programme, des compétitions d'aviron, de basket, de boxe, de cyclisme, d'équitation, d'escrime, de gymnastique artistique, d'haltérophilie, de handball, de judo ... Mais aussi de nouveaux venus tels que le golf ou le rugby à sept qui fait son grand retour après 100 ans d'absence.
Pour cette nouvelle édition, la marque Oméga est le chronométreur officiel de la compétition pour la 27 ème fois depuis les jeux olympiques de Los Angeles en 1932.
Si Omega a su conserver son partenariat au cours de tous ces jeux, c'est parce qu'elle se réinvente et innove toujours plus, à chaque édition. Au départ, seul un chronométreur était présent muni de 30 chronographes à rattrapante. Aujourd'hui les athlètes peuvent compter sur 480 chronométreurs avec 450 tonnes d'équipement parfaitement fiable. Mais il a fallu quelques années et beaucoup d'évolutions technologiques pour en arriver là.
Magic Eye et la cellule photoélectrique :
C'est en 1948 qu'Omega propose ses premières innovations. Le Magic-Eye, première caméra photo-finish permettait aux chronométreurs de déterminer la position exacte des athlètes sur la ligne d'arrivée. En complément du Magic Eye, Omega a lancé la cellule photoélectrique, aujourd'hui toujours utilisée et qui continue d'évoluer. Le principe ? "Remplacer" l'oeil humain de l'arbitre. Et cela grâce à un courant électrique lumineux parallèle à la ligne d'arrivée, qui déclenchait les chronographes à rattrapante avec un calcul de temps au millième de seconde.
L'Omegascope :
Utilisé pour la première fois en 1964 aux Jeux d'hiver d'Innsbruck, cet appareil est à l'origine de l'affichage en temps réel. Il permettait pendant les retransmissions sportives d'afficher en direct les performances en bas de l'écran de télévision. Un moyen de supprimer une quelconque marge d'erreur avec un chronométrage pour la première fois complètement électronique.
Le panneau de contact :
C'est dans les bassins qu'Oméga réalisa l'une de ses plus grandes innovations aux Jeux de Mexico en 1968. Un panneau de contact était fixé au bord de la piscine permettant aux nageurs d'arrêter seuls à l'aide de la main leur temps en fin de course.
Détection de faux départs :
En 1984 aux Jeux de Los Angeles, Oméga fait encore des merveilles en mettant en place un appareil qui calcule les faux départs. Et cela avec un équipement hyper sensible qui mesure la pression des coureurs contre les starting-blocks. Le temps de réaction autorisé étant de 0,100 secondes, mesuré par la pression des jambes avec pour les hommes 29 kg et pour les femmes 27 kg au départ de la course.
Le pistolet starter :
Objet emblématique des jeux olympiques, les anciens pistolets posaient problèmes lors du départ. En effet, il existait un décalage de réception du son par les athlètes suivant leur position sur la piste.
C'est en 2010 aux Jeux d'hiver de Vancouver que furent introduits les nouveaux pistolets starter Oméga. Cet appareil électronique se compose d'un flash et d'un générateur de son, connecté à des haut-parleurs situés derrière chaque athlète. Une révolution permettant un signal de départ équitable pour tous les athlètes avec également le déclenchement d'un signal lumineux et le démarrage du chronomètre.
La maîtrise du temps fait partie intégrante de la réussite des Jeux Olympiques. Oméga est aujourd'hui maître en la matière, tant pour les Jeux que pour les montres portées par le commun des mortels.